![]() |
|
![]() |
OSAZE AMADASUN |
Images à télécharger © Musée d’ethnographie de Neuchâtel / Prune Simon-Vermot
Œuvres à télécharger © Musée d’ethnographie de Neuchâtel / Osaze Amadasun
» télécharger les cartels des œuvres
![]() | BRAZILIAN EXTENSIONS AND WIGS Les cheveux sont au cœur des représentations, des pratiques et des soins liés à la beauté partout en Afrique. Il n’est donc pas étonnant que les perruques et les extensions capillaires fassent partie des produits les plus prisés au Nigeria. À Lagos, leur commerce a été longtemps dominé par des petites entreprises distribuant des produits importés, mais de nouvelles perspectives se dessinent aujourd’hui avec l’ouverture d’usines qui assemblent leurs perruques sur place. » télécharger l’image en HD |
![]() | THIS NA LAGOS Depuis les années 2000, Lagos faite preuve d’une audace architecturale marquée : construction d’ouvrages à portée emblématique (le fameux pont de Lekki), extension urbaine sur une île artificielle (Eko-Atlantic), création de quartiers d’affaires hyper modernes, rénovation du théâtre national et de l’aéroport, implantation de nouveaux musées… » télécharger l’image en HD |
![]() | DIGITAL EKO Depuis les années 1990, le Nigeria connaît une prodigieuse accélération numérique. D’autant plus forte qu’avant l’arrivée des téléphones portables, l’accès au réseau fixe était très limité. Elle se prolonge dans les années 2010 avec l’apparition de startups et de jeunes patrons dans le vent, qui n’ambitionnent rien de moins que s’installer au firmament des technologies mondiales. » télécharger l’image en HD |
![]() | AFROBEAT(S) En Europe, la musique du Nigeria s’est longtemps résumée à Fela Kuti : l’afrobeat combinant jazz, funk, highlife et critique sociale. 40 plus tard, le terme est réutilisé au pluriel afin de qualifier une tendance musicale reprenant le cocktail pop ouest-africain en y ajoutant des sons électroniques. La scène musicale de Lagos s’impose subitement comme un haut lieu des tendances planétaires. » télécharger l’image en HD |
![]() | GO SLOW La population de Lagos grandit à un rythme effréné : les Nations Unies estiment qu’elle augmente de 9 personnes par minute. Ce qui entraîne un vaste étalement urbain et d’importants soucis en termes de mobilité. Depuis les années 1960, les autorités ont tout misé sur la route. Avec l’explosion du nombre de voitures, celle-ci est invariablement saturée. En pidgin, les embouteillages récurrents sont appelés go slow. Ils font grimper la durée des trajets quotidiens à 3 heures par personne en moyenne. Dans cette ville que certains disent paralysée par son mouvement, les autorités cherchent néanmoins des alternatives. Depuis 2008, elles développent un système de bus rapides (BRT). Plus récemment, elles mettent aussi en place un réseau de chemin de fer urbain et un système de de navettes maritimes qui sont en train de révolutionner les mobilités pendulaires. » télécharger l’image en HD |
Pour toute information complémentaire, contactez communication.men(at)ne(dot)ch